Poursuivant son itinérance bruxelloise depuis 1998, de terrains vagues en espaces publics, de parcs en impasses, le PleinOPENair est bien décidé à s’attaquer au marasme ambiant et aux esprits anxiogènes qui minent notre époque. Un sursaut dans la torpeur estivale face à un agenda médiatico-politique qui ne cesse de mettre en avant la cancérisation des Bruxellois par le "sentiment d’insécurité" - particulièrement ces derniers mois, où Bruxelles a été dépeinte un temps comme une ville (...)